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Sex, Pop, and Glimmer

2 avril 2008

Un café. Il sombre dans l'athmosphère noire des

Un café. Il sombre dans l'athmosphère noire des grandes villes, une fourmillière chauchemardesque et ordonnée de sa mélancolie. Pourtant, un verre de vin et il aurait rêvé d'un autre monde, réinventé jusqu'à l'univers même. Parfois, dans ses plus folles bouffées d'espoir, il aurait imaginé vivre autrement, autrepart. Mais maintenant il s'éveille: la vie, l'adition; l'affreuse revanche du réel.
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26 mars 2008

Les sentiments humains sont bien étranges. Ils

Les sentiments humains sont bien étranges. Ils s'interpénètrent. Vous pouvez apprécier particulièrement quelqu'un, vouloir aller loin avec lui. Cependant cette personnes a trouvée l'amour, et j'en suis particulièrement heureux, même si une pointe de jalousie se pointe, haha. De toute façon, j'ai l'habitude d'occuper les seconds rôles, celui de "personne intéressante" qui se fait coiffer au poteau pour devenir un "ami précieux", un "confident", à vrai dire le premier à qui on annonce sa relation nouvelle ("tu t'es trouvé un copain? cooool, je suis heuuuureuuuuux que tu m'en parles." Combien de fois cela m'est-il arrivé? à chaque fois qu'un homme me plaisait, en fait. Je ne vais pas lister les trois pauvres malheureux). Je ne m'en plaint pas, je dois être un peu bonne poire. Qu'importe! Je vous avoue être surchargé, et même si j'aime ça, j'ai tendance à craquer. Devant le travail, devant l'absence de résultats de ma prépas (pour moi, avoir l'iep, c'est comme l'homme de ma vie, je risque de ne jamais le toucher, copyright A., attention, joke inside à ne pas prendre au sérieux), l'absence de mes proches amis, mon auto-cloisonnement aux quatres murs quarrés de ma chambre. J'appartiens à la génération PEI, haha. Espérons que je m'en sortirais mieux du côté de la faculté. Ce message peut sembler défaitiste, pessimiste, il ne l'est pas. je n'ai pas le droit de me plaindre, et ne me plaindrait pas. Tout me réussit jusqu'à présent - sauf en amour certes, mais ce n'est décidément pas ma priorité -, ma vie est remplie. Je suis heureux, ne vous inquiétez pas. Au fait, vous êtes coordialement invités à notre exposition: afficheexpo
23 mars 2008

Certains plaisirs ne sont bon que dans l'abus.

Certains plaisirs ne sont bon que dans l'abus. Lire le monde, à la terrasse d'un café ensoleillé, café à la main, se perdre dans les rues de Barcelonne, Paris, prendre le métro, se sentir pousser des ailes, écouter Shadow of a doubt, en rire, s'imaginer un autre, se faire passer pour un autre, ne pas se raser le matin et s'en foutre, prendre le train en première classe, iPod à la main, voyager, partir ailleurs, rire, chanter, redevenir moi, discuter d'art dans un café, dans une rue, à Paris, aller dans un cinéma d'art et d'essai en costume d'éboueur, en rire. Réver d'Adam Green, grattouiller, s'admirer dans la glace, faire semblant. Rire. Se sentir occuper, organiser des tas de choses,, s'accrocher à des rêves. Rêver de Paris,de médiation culturelle, de Sorbonne. De new York. De Moscou. De Berlin. De Dublin. Savourer une guiness dnas un bar Irlandais. Passer des heures au Furet du Nord. Ecouter de la musique, lire. Rire. Discuter de politique, de religion, d'art, de moi, dans un café. Rougir. Se sentir partir, ailleurs, dans ses yeux. Je vous aime, A.
2 mars 2008

Junior Asso Politzik

2 mars 2008

Internet, média pornocratique

Sur Internet le prince charmant n'existe pas. Il est mort, tué. Le romantisme est passé à la trappe, ne reste que le sacro-saint Sexe, protubérant et long, en Haute Définition s'il vous plait. N'en déplaise à Bard, les Dividus ne sont qu'un nouveau moyen de séduction. Une télé-réalité géante, où au fur et à mesure d'un sélection darwinienne, le plus « original » et « provoquant », selon le critère commun ô combien médiocre – est élu people de l'année. Et on recommence, indéfiniment; Et lui baisera, à l'arrière du cybercafé, ses groupies affamées. Chérie, créons nous d'autres identités. J'en suis las et n'ai rien à me prouver: ni consumtarien, ni netocrate. Juste réel... dans un mondre virtualisé. Dire que le World Wide Web était sensé être « linvention du siècle », un « partage des connaissances »? mon cul. Enfin non, pas le mien. A. [Dire que ce message en lui même participe à mon Dividu, haha. Créons nous des identités, nous en avons tellement peu.]
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30 septembre 2007

Comment dire? Merci.

Il est fort rare qu'à 17 ans on ai réalisé un rêve d'enfant, et qu'on puisse appeler sincèrement une soirée "mémorable, inoubliable". Il est fort rare de procurer un tel plaisir aux gens, dont vos plus proches amis, que vous ne puissiez même pas rester dans la salle, émotionnellement parlant.

Merci, merci à tous pour ce festival impeccable, et d'une qualité je pense quasi-irréprochable. Merci aux 287 entrées payants, aux 350 personnes présentes dans la salle -complète -, à l'équipe, aux groupes (notamment les Mauvaises Langues :)), à tous. Vous avez réalisé un rêve.

A.

12 septembre 2007

Mr A. is happy to invite you to our private show.

29 septembre.
17h30
St Omer.
Les Bouzeux gratouillent, festival.

flyer

10 septembre 2007

RIP, Jean François.

Il y a de grandes stars, étoiles qui s'éteignent plus bruyamment qu'une lampe à néon, et celles, pourtant lumineuses, dont la disparition ne laisse place qu'à une ombre plus profonde. Jean François Bizot était de ceux-ci. Chantre de la contre-culture, contre reporter aux milles et uns voyages tous plus fantastiques - Woodstock, New York, l'inde, les foyers d'arts nouveaux - les uns que les autres, il était l'apôtre méconnu de toute une génération. A travers actuel, il m'a évangélisé, converti, changé, à tel point que j'avais juré de travailler dans la dîtes paroisse, ou d'adresser une longue prière sous forme de lettre à celui que je considérais comme mon gourou.
Car oui, Actuel était ma bible, Nova la radio parfaite, où le mal n'est qu'illusion. Et l'homme à la douce voix grave, réchauffée et rassurante, vient de s'éteindre.
Repose en paix, Jean François.

3 septembre 2007

Photo_006

1 septembre 2007

Vacances.

Des vacances chargées...

From St Omer to Barcelonna

Où comment commencer en beauté par une colonie de vacances fort sympathiques aux baléares, remplie d'extranormaux, même des nains et des elfes, et même des danseurs de techtonik. Même qu'il n'y avait pas de terroristes corses (ouf, mon pauvre portable). Même que je m'en souviendrais longtemps, parce que vous avez le pouvoir, haha. Et que moi je suis totalement mégalo. Et démago. Normal, je suis un nain. Un nain travesti serveur dans un restaurant pour gentes dames, attention. Un nain massé, un nain dénommé Jesus, qui part dans une croisade contre les pigeons et ... non, je mélange tout. C'était juste épique, digne du Donjon de Naheulbeuk.

Même que ça vaut au moins une photo:


"Je ne peux pas promettre qu'on se reverra ma grosse loutre en sucre, mais ce fut quand même sacrément agréable de faire un bout de route avec vous" .

And from Barcelonna to Cannes

Puis la retombée, le travail:  agent technique de seconde classe, en clair éboueur. Ramasser les couches culottes ouvertes, glaces Hagen Gaze fondues (vives les Ben and Jerrys deux boules citrons topping fraise orgasmique, ndlr). Assez fatiguant, surtout lorsqu'il fait 38°C en plein cagnard. Mais j'avoue que les collègues sympas, ça remonte le moral. Et puis ça me permettra quand même de payer mon appartement à Paris, alors, il faut ce qu'il faut.  En tout cas, il est désormais clair que le prestige de l'uniforme existe bel et bien si j'en crois le nombre de minettes qui m'ont demandé mon numéro de portable (à moins que ce ne soit ma coupe à la Cure) , même une lesbienne. Par contre aucun Nhom, à croire que je suis maudit.

From Cannes to St Nowhere

A St Nowhere, toujours rien de nouveau. Il faut dire que la ville s'est figé depuis le XVIe siècle. Mais bon, je revois du monde, sors, me fait charier sur ma coupe de cheveux, m'amuse follement à écrire des centaines de mails en vue du festival. Je vous aime. Même si j'ai particulièrement envie de me casser dans une Ville.

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  • Sex, Pop Music, Glimmer. Ainsi pourrait se résumer ma vie en 1965, à New York City, fréquentant le CBGB et son univers atypique. Vie dangereuse, passionnante, en trompe l'oeil. On peut toujours rêver!
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